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Quand les parents deviennent chercheurs et créateurs de savoir
Depuis 2019, l’AFUPPIPC porte les Universités Populaires de Parents, un dispositif initié par l’Acepp, qui a pour ambition de donner la parole aux parents, en particulier ceux issus de milieux populaires. Cette initiative leur permet de partager leurs expériences, de les confronter à d’autres formes de savoirs — qu’ils soient scientifiques, politiques ou issus du travail social — et de se reconnaître comme des citoyens pleinement acteurs de la société.
Accompagnés par des universitaires, des groupes de parents mènent ainsi des recherches sur des sujets liés à la parentalité : la violence, l’école, la transmission des valeurs, ou encore les défis spécifiques rencontrés dans les quartiers populaires. Le fruit de ces réflexions sert de base pour dialoguer avec les institutions, bousculer les représentations, nouer des partenariats et faire émerger des initiatives locales en matière d’éducation.
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Une ode dansée à la jeunesse, entre surprise et émotionsNée d’improvisations dans les cours de récréation, la création...
Partager un espace vert avec tout un quartierCela fait quatre ans que Saada cultive ce petit coin de verdure aux...
Un moment fort pour les acteurs des quartiers populaires de MarseilleLe 14 décembre 2024, plus de 200 personnes se...
Né d’un élan de solidarité post-Covid, ACCEPT (Association Culturelle Solidaire Espoir Pour Tous) est à la fois un coin lecture, une ludothèque, et un espace d’entraide ouvert à tous. Créée par trois mamans complémentaires, l’association propose du soutien scolaire, des ateliers pour adultes visant l’autonomie rédactionnelle, et un lien fort avec l’école voisine. Avec déjà une trentaine d’adhésions, le projet s’articule autour de trois axes : soutien à la parentalité, accrochage scolaire, et accès à l’éducation. En rendant la lecture accessible même à ceux qui n’aiment pas lire ou qui font face à des barrières linguistiques, ACCEPT recrée du lien, de la confiance, et nourrit la curiosité dans le quartier.
« Accepter c’est de pouvoir recevoir, de pouvoir donner et d’être solidaires les uns avec les autres. »
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Du 23 au 25 août 2024, le festival Dialogue de rue a fait vibrer la place des Marseillaises aux pieds des escaliers de la gare Saint-Charles. Trois jours d’ateliers, de débats et de créations collectives pour redonner voix à celles et ceux qu’on oublie trop souvent.
À Marseille, dans le quartier de Saint-Charles, entre la gare et les ruelles populaires du Chapitre, un souffle de résistance a traversé la fin de l’été 2024. Du 23 au 25 août, le festival Dialogue de rue a transformé l’espace public en un lieu de rencontres, d’expression populaire et de construction collective. Organisé par les associations Éclore et Didac’Ressources, aux côtés du collectif Massalia VOx, en partenariat avec Einai et Eloquentia Marseille, l’événement a été cofinancé par l’Union européenne et soutenu par la Ligue de l’enseignement PACA ainsi que la Ville de Marseille.
Vendredi 23 août, la journée « On est ensemble ! » a ouvert le festival sous le signe des solidarités locales. Le public a partagé un repas préparé collectivement lors d’un atelier cuisine participatif, avant de rejoindre une table ronde animée autour de nos jeux Dialogue et Opinion, mêlant discussions et échanges ludiques sur les discriminations. L’après-midi s’est poursuivi avec un atelier d’upcycling animé par l’association EKO! et Low Tech with Refugees, alliant écologie, créativité et transmission.
Samedi 24 août, la question « À qui est Marseille ? » a structuré la journée. Après un atelier de conversation en français, les participant·es ont découvert la musique traditionnelle ouest-africaine de Zaky Djiguiya, artiste burkinabé, puis ont suivi une balade littéraire guidée par Juliette Weller (Les Balades de Juliette). L’après-midi a mêlé artivisme et sciences, avec un atelier participatif mené par Sidonie Mauruc et une médiation sur les éoliennes proposée par Amazone Inspirée. La table ronde « Écrire Marseille ? », animée par Armando Coxe, a réuni l’auteur François Thomazeau et la poétesse Julie Cat. Un live painting du street artiste Nô a ensuite mis à l’honneur les figures féminines de la résistance, suivi d’une tchatchade politique avec Jean-Marie Sanchez et d’une distribution solidaire organisée par La Maraude Mentalité Virage Depé.
Dimanche 25 août, le festival s’est clôturé avec la journée « Nos voix, parce qu’on doit se faire entendre ! ». Une Calle des doléances a ouvert l’après-midi, suivie d’un théâtre forum participatif animé par Magida Bel Abbes (La Cabane des Voisins), d’un atelier d’écriture collaborative avec Polygraphe, et d’un podcast public avec Mira Younes (Nous sommes restés sans voix). L’improvisation a pris le relais avec DAMS aka Yannick Noailles, avant un concert final vibrant porté par Amazone Inspirée et Ericão Brasilidade. Toute l’après-midi, l’espace Genre Pluriel, animé par Marie Batret, a proposé des activités engagées autour des luttes féministes et LGBTQIA+.
Pendant trois jours, le festival de Dialogue de rue a redonné du souffle à la rue, en faisant de Saint-Charles un carrefour d’histoires, de luttes et d’imaginaires partagés. Une démonstration vivante que la ville appartient à celles et ceux qui l’habitent et la font vibrer.
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Marseille dessinée par nos trajectoires, nos récits, nos rêves
Pendant plusieurs semaines, à Massalia VOx, des habitant·es de Marseille se sont retrouvé·es pour une aventure collective et sensible : « Et dans ma tête, des cartes », une série d’ateliers mêlant écriture, cartographie radicale et récit intime, animée par Aroun Mariadas et Bruno Mathé.
L’objectif ? Repenser la manière dont on raconte la ville. Sortir des plans froids, officiels, pour y inscrire nos trajectoires, nos émotions, nos souvenirs, nos colères et nos espoirs.
Marseille vue depuis ses marges, depuis ses vécus, depuis l’intérieur.
« On a lu des extraits d’auteur·es, on a écrit à partir de lieux qui nous marquent, on a détourné des objets pour les transformer en prises de parole. C’était à la fois politique et profondément personnel », raconte Sophia-Nicée, participante aux ateliers.
L’expérience était collective, organique, vivante. On lisait nos textes à voix haute, parfois en marchant, parfois en chœur. On écoutait les mots des autres, on se répondait.
Et à la fin, on posait nos lieux sur une carte de Marseille, en y ajoutant nos récits, nos émotions, nos rêves.
C’est une autre ville qui apparaissait, plus fragile, plus réelle. Celle qu’on habite, qu’on aime, qu’on subit parfois, mais qu’on continue de faire vivre.
De tout cela est née une restitution sonore sous forme de podcast : un chœur de voix, de récits et de lieux, pour faire entendre la ville autrement, depuis ses angles morts et ses forces invisibles.
« Et dans ma tête, des cartes », c’est une invitation à reprendre la parole, à se réapproprier l’espace, à affirmer haut et fort que nos histoires comptent.
Parce que la ville, ce n’est pas que des rues et des murs. C’est ce qu’on y vit, ce qu’on y transmet. C’est nous.
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