Le Blues des Métèques – Mehdi Rebaya

Le Blues des Métèques – Mehdi Rebaya

PODCAST

Le Blues des Métèques – Mehdi Rebaya

Des générations après l’immigration, être Arabe en France reste synonyme de décalage. Ce podcast interroge ce regard et son impact, en posant une seule question : ça fait quoi d’être Arabe en France aujourd’hui ?

Je crois qu’après plusieurs générations, nous, les arabes de France sommes toujours considérés comme des métèques. Des pas tout à fait Français, des pas vraiment citoyens. L’ambition de ce podcast est simplement de donner la parole à des personnes concernées pour essayer de comprendre l’impact de ce regard sur notre construction. Si ce podcast pouvait se résumer en une question ça serait: ça fait quoi d’être arabe en France aujourd’hui? 

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Un podcast enregistré à Massalia VOx, avec le soutien de Massalia VOx Média.

Ma première invitée c’est la pétillante Sonia. Elle me parle de sa tentative de persuader un flic qu’être raciste c’est mal, on essaye de savoir comment se mélangent l’huile et l’eau (et on est pas très bon) et j’ai un vilain chat dans la gorge (promis je me racle la gorge à un moment, désolé les misophones)

Pour ce deuxième épisode mon invité est Yanis. L’actualité nous pousse à parler politique, à évoquer nos réactions après la dissolution de l’assemblée et ce qu’on attend de nos allié.e.s dans cette période. On parle anniversaire, violence policière et espoir. On discute de nos corps d’hommes racisés dans l’espace public et de jetons de poker.

Dans ce 3ème épisode, c’est Soraya, que j’ai rencontré il y a quelques mois, qui prend place derrière le micro… On discute de la question du voile en France. On monte un business de marque de soin pour musulman.e.s, on essaye de comprendre les névroses des blanc.he.s. Et Soraya essaye de débaucher des auditeur.ice.s racisé.e.s pour améliorer les repas du self de son taf.

Dans ce 4ème épisode, c’est Sihem, qui prend place derrière le micro. On explore les thèmes de nos colères et de l’importance de créer avec et pour nos communautés. On dit que Karl Marx avait pas de copains arabes et on discute du droit à se tromper.

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Yallah je t’emmène – Marie et Méwaine Petard

Yallah je t’emmène – Marie et Méwaine Petard

Yallah je t’emmène – Marie et Méwaine Petard

Entre espoir, résistance et quotidien sous tension, ce récit immersif te plonge au cœur de la Cisjordanie, loin des clichés et du silence médiatique. Marie y retourne un an après avoir été évacuée, pour redonner la parole à celles et ceux qui y vivent.

Yallah, je t’emmène avec moi en Palestine, pour donner la parole aux Palestiniens et Palestiniennes sur leur réalité trop ignorée à Ramallah, en Cisjordanie.

Je m’appelle Marie, je suis française et j’ai habité deux ans en Palestine avant d’en être évacuée après le 7 octobre. En y retournant, 1 an plus tard, je veux t’emmener avec moi pour te montrer une réalité beaucoup moins connue ; celle de la Cisjordanie.

Un voyage pour voir, écouter, au-delà de ce qu’on en connaît, les belles choses comme les moins belles et avant tout à travers les témoignages de Palestiniens et Palestiniennes.

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Le podcast « Yallah je t’emmène » est en partie enregistré à Massalia Vox dans le cadre de l’atelier podcast libre

Intrigué par ce podcast ? Cette bande-annonce devrait achever de vous convaincre de venir avec moi, en Palestine, écouter ses sons et surtout les témoignages des palestiniens et palestiniennes. Yallah, je t’emmène…

Après des mois évacuée loin de chez moi, Ramallah, en Palestine, et alors que la guerre continue, je ne pense qu’à une chose : repartir. Retrouver mes amis, mes amours, ma vie. Celle que j’ai construite depuis deux ans. Intime évidence que beaucoup ne comprennent pas : c’est pourtant risqué de repartir maintenant, non ? Oui, mais à travers le témoignage de Dia, palestinien vivant en France, on vous montre que c’est aussi un privilège précieux de pouvoir y aller. Comment c’est possible ? Yallah je t’emmène…

On atterrit, enfin ! Et puis, on embarque dans un taxi direction Ramallah, enfin ! Mais le chemin n’est pas sans obstacle pour parvenir à notre destination finale. Lesquels, obstacles ? Yallah, je t’emmène…

Nous voilà dans Ramallah, enfin ! Après ce long trajet, on retrouve Sami, un ami que je n’avais pas vu depuis ces longs mois. Je lui explique la route et il s’amuse de nos péripéties. Parce que lui, en tant que palestinien de Cisjordanie, les routes, c’est autre chose. C’est pire. À travers son expérience et son témoignage, c’est de la liberté de mouvement en Cisjordanie dont je voudrais vous parler. Enfin… « liberté ». C’est ce que Sami va nous expliquer depuis son joli balcon coloré à la lumière tamisée. Yallah, je t’emmène…

On est toujours avec Sami, sur son balcon, parce qu’il est encore un sujet central qu’on n’a pas abordé ; les colonies illégales implantées en Cisjordanie et leurs habitants… des voisins peu commodes. Et « peu commodes », c’est un euphémisme, pourquoi ? Il suffit d’écouter le témoignage de Sami. Yallah, je t’emmène…

Cette fois, on fait un tour de Ramallah… Enfin ! Découvrir ses couleurs, ses sons, ses places et ses symboles. Yallah, je t’emmène…

Notre petit tour de Ramallah n’est pas tout à fait terminer… Il faut quand même qu’on aille faille un crochet par chez Abu Omar. Il est né et a grandi dans le camp de réfugiés de Jalazoon qui se trouve à l’entrée de Ramallah et à côté d’une colonie illégale israélienne. Abu Omar nous emmène dans ses souvenirs d’enfance pour nous raconter la réalité des réfugiés palestiniens en Palestine. Yallah je t’emmène…

L’amouuuur – est-ce que ce serait pas un de nos sujets préférés ? Mais bien sûr, vous allez voir que, comme tout le reste, l’amour en Palestine, c’est quelque chose. Et pour en discuter, on se retrouver avec les amoureux du jour – Juliette et Wissam – à Garage, sacrée combinaison, je sais… Yallah, je t’emmène un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ! ???? ❤️ ????

Cette fois, direction la ferme agricole où travaille Lina qui nous raconte ce que ça veut dire de travailler dans une ferme en Cisjordanie. L’occasion d’aborder un thème central : l’eau. Prêt·e à écouter le chant des oiseaux et les sons de la colonie illégale israélienne juste à côté ? Yallah, je t’emmène…

Comment on fait pour tenir dans des conditions pareilles ? Comment font les Palestiniens et Palestiniennes pour vivre et tenir bon quand tout est fait pour vous rendre la vie… invivable ? C’est la question que j’ai posée aux personnes que vous avez rencontrées tout au long de ce podcast…

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Queers for Palestine : « Pas de libération queer sans celle de tous les peuples opprimés »

Queers for Palestine : « Pas de libération queer sans celle de tous les peuples opprimés »

Queers for Palestine : « Pas de libération queer sans celle de tous les peuples opprimés »

Quand l’art queer soutient la Palestine : un show brûlant de révolte et de solidarité.

(Re)plonge dans l’effervescence du drag show de la troisième édition de Queers for Palestine, qui s’est tenu du 2 au 6 avril 2025 au Sing or Die. Sur scène, les paillettes côtoyaient les slogans, les corps dansants portaient les colères, et les identités queer s’élevaient en solidarité avec la lutte palestinienne.

À travers des interviews exclusives et des performances enflammées, notre reportage capte l’âme d’un événement où l’art n’est jamais neutre, où chaque regard, chaque mot, chaque mouvement crie : pas de libération queer sans libération de tous les peuples opprimés.

Car ici, la culture s’affirme politique, et la scène devient tribune. Tous les fonds récoltés ont été reversés à l’association Sawt Palestine, renforçant ce lien vital entre expression artistique et engagement militant.

(Re)vis cette communion vibrante entre luttes, identités et résistances.

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Il est capital que les queers fassent front uni et résistent à la récupération de nos identités LGBTQIA+.

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DASLCA – Jouons ensemble au-delà de nos différences

DASLCA – Jouons ensemble au-delà de nos différences

DASLCA – Jouons ensemble au-delà de nos différences

DASLCA, ludothèque mobile et inclusive, repense le jeu pour qu’il soit accessible à tous, au-delà des différences, créant du lien et de la joie partagée.

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Dans ce portrait d’Abderrahman et Marie-Claire, on découvre les visages et les gestes de celles et ceux qui font vivre DASLCA, une association fondée en 2013 avec une ambition forte : rendre le jeu accessible à toutes et à tous. À travers des images lumineuses et des témoignages sincères, se dessine l’histoire d’une ludothèque unique en son genre : mobile, inclusive, et engagée dans l’innovation sociale.

L’équipe se déplace de quartier en établissement, installant ses jeux sensoriels dans les écoles, maisons de retraite, lieux associatifs ou centres spécialisés. Braille, gros caractères, contrastes, reliefs, sons, lumières, images… tout est pensé pour inclure les personnes en situation de handicap, qu’il soit visuel, cognitif ou moteur. Et surtout, pour rassembler. Ici, pas de cloison : chacun joue, à égalité.

Les regards complices, les mains qui cherchent et trouvent, traduisent quelque chose d’essentiel : le jeu comme vecteur de lien social, de mémoire, de créativité, de dignité aussi. Dans un monde encore trop souvent fragmenté, un simple plateau devient un terrain d’échange et de liberté.

DASLCA s’adresse à tous les âges, toutes les conditions. Ce portrait d’Abderrahman et Marie-Claire ne montre pas seulement une association engagée, il raconte une autre manière d’être ensemble : par le jeu, avec humanité et inventivité.

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Queers for Palestine : « Je vis dans le pays de la dette »

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L’instrumentalisation des luttes queers masque des oppressions sous un vernis progressiste.

Derrière les drapeaux arc-en-ciel et les slogans inclusifs, une mécanique bien rodée s’active : celle du pinkwashing. Cette stratégie consiste à instrumentaliser les luttes LGBTQIA+ pour redorer l’image d’États ou d’entreprises, souvent au mépris des réalités qu’elles camouflent. Israël en est l’un des exemples les plus décriés : en promouvant Tel-Aviv comme capitale gay-friendly, l’État tente de faire oublier la violence de l’occupation et la répression du peuple palestinien, y compris de ses queers.

Pendant que certaines ambassades défilent en toute impunité dans les Marches des fiertés, les LGBTQIA+ palestinien·nes restent invisibilisé·es, pris·es entre homophobie sociale et violence coloniale. Ailleurs, les marques s’ornent de drapeaux pour mieux faire oublier leur implication dans des politiques anti-queer, l’exploitation ou la pollution. La fierté devient façade, les luttes, objets marketing.

Le vendredi 4 avril dernier, la troisième édition de Queers for Palestine a fait halte au Centre LGBTQIA+ avec une soirée en collaboration avec le collectif uncivilized, espace artistique et politique par et pour les personnes du Sud Global. Une table ronde a ouvert un espace de réflexion autour de l’instrumentalisation des luttes queers dans les contextes coloniaux, suivie de performances engagées. Une soirée pour réaffirmer que nos identités ne sont pas à vendre, et que sans justice, il ne peut y avoir de fierté.

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Je rêvais du petit air d’Occident, de ceux qui ont toujours été du bon côté de la frontière. 

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