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Marseille dessinée par nos trajectoires, nos récits, nos rêves
Pendant plusieurs semaines, à Massalia VOx, des habitant·es de Marseille se sont retrouvé·es pour une aventure collective et sensible : « Et dans ma tête, des cartes », une série d’ateliers mêlant écriture, cartographie radicale et récit intime, animée par Aroun Mariadas et Bruno Mathé.
L’objectif ? Repenser la manière dont on raconte la ville. Sortir des plans froids, officiels, pour y inscrire nos trajectoires, nos émotions, nos souvenirs, nos colères et nos espoirs.
Marseille vue depuis ses marges, depuis ses vécus, depuis l’intérieur.
« On a lu des extraits d’auteur·es, on a écrit à partir de lieux qui nous marquent, on a détourné des objets pour les transformer en prises de parole. C’était à la fois politique et profondément personnel », raconte Sophia-Nicée, participante aux ateliers.
L’expérience était collective, organique, vivante. On lisait nos textes à voix haute, parfois en marchant, parfois en chœur. On écoutait les mots des autres, on se répondait.
Et à la fin, on posait nos lieux sur une carte de Marseille, en y ajoutant nos récits, nos émotions, nos rêves.
C’est une autre ville qui apparaissait, plus fragile, plus réelle. Celle qu’on habite, qu’on aime, qu’on subit parfois, mais qu’on continue de faire vivre.
De tout cela est née une restitution sonore sous forme de podcast : un chœur de voix, de récits et de lieux, pour faire entendre la ville autrement, depuis ses angles morts et ses forces invisibles.
« Et dans ma tête, des cartes », c’est une invitation à reprendre la parole, à se réapproprier l’espace, à affirmer haut et fort que nos histoires comptent.
Parce que la ville, ce n’est pas que des rues et des murs. C’est ce qu’on y vit, ce qu’on y transmet. C’est nous.
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Entre Nairobi, Liverpool et la France, Edward Kamau tisse une folk intime et nomade, empreinte de mémoire, de spiritualité et de luttes douces. À travers son projet Sweet Street Opera, il chante les invisibles, les passants, les silences du monde
Dans les rues ensoleillées du sud de la France, une guitare s’élève. Ce n’est pas un simple chant : c’est une mémoire qui murmure, une histoire en fragments qui se rassemble à travers les cordes et la voix. Edward Kamau, artiste anglo-kenyan, donne vie à Sweet Street Opera, un projet musical poétique et politique né de ses voyages, de ses engagements et d’un désir profond de relier les mondes. Sa folk est fluide, comme les courants de l’Atlantique noir qu’il évoque ; elle puise dans l’intime autant que dans l’histoire collective. Rencontre avec un conteur des temps modernes, au croisement des territoires et des sensibilités.
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Des jeunes marseillais en difficulté prennent la parole, racontant sans filtre leur vie et leurs espoirs à travers un projet vidéo engagé et collectif.
En 2017, près de la gare Saint-Charles à Marseille, des jeunes en galère, souvent livrés à eux-mêmes, ont pris part à un projet singulier et engagé : Regards de jeunes. Ensemble, ils ont dû raconter leur histoire à travers des vidéos qu’ils ont imaginées, écrites et tournées eux-mêmes. Des récits bruts, faits de galère, de débrouille, mais aussi d’espoir.
Ce projet, lancé par l’association Éclore, l’ADDAP13, la maraude mixte de Saint-Charles, Le Refuge et l’ANEF, leur a donné les moyens, la formation et une rémunération pour parler d’un sujet qui les touchait fort : comment se construire un « chez soi » quand on n’en avait pas ?
En fait, je paressais jamais sale sur moi. J’étais dehors mais tout le temps propre. Bien rasé, bien coiffé. Je me débrouillais toujours pour ne pas laisser paraître. Je voulais me débrouiller seul, sans l’aide de mes parents.
Le résultat, c’est une série de vidéos fortes et sincères. On naît que de passage racontait l’instabilité constante. Parcours de vie montrait un quotidien fragile. Et dans la mini-série Tracy, ils jouaient leurs propres histoires, entre fiction et vrai vécu.
Pas de discours larmoyant, juste leurs voix, leurs mots, leur regard sur la vie, le rejet familial, l’homophobie, l’exil, la précarité. Et surtout, comment ils s’en sortaient, grâce aux rencontres, à la chance et à la débrouille.
Ce premier projet a posé les bases du média associatif et participatif qu’on construit aujourd’hui, Massalia VOx Média. Parce que ces jeunes, qui vivent tout ça, avaient des choses à dire, et quand on leur tendait le micro, ils savaient s’en servir.
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Portraits de celles et ceux qui changent le monde avec force, cœur et lumière.
Humain•e Déter :
Nom féminin, masculin, non-binaire
Personne qui illumine la Terre par ses combats, ses ambitions, son Art, sa Voix & ses échos, par ses luttes, sa bienveillance, son Monde & ses réflexions.
Synonymes : Humain•es badass ; Personnes incroyables ; Individu•es exceptionnel•les
Un podcast co-produit avec Massalia Vox (@massalia_vox)
Générique et habillages : Kamaji Production (@kamaji_production)
Le prologue
Découvriras tu l’invité•e qui se cache derrière cette description ?
Installée depuis 2017 à Marseille, elle œuvre par le biais de ses enseignements en France et à l’étranger à valoriser le corps des femmes (sans oublier ceux des hommes), les encourageant grâce à la danse à déconstruire les injonctions, à transformer, à se réapproprier leurs corps et à booster l’estime de soi.
Découvriras tu l’invité•e qui se cache derrière cette description ?
En 2024, il publie le dernier ouvrage de la trilogie : Cramés, les enfants du Monstre aux Editions Julliard. C’est à cet occasion que nous revenons sur son travail et son parcours au micro de Humain•e Déter.
C’est un poème d’Angela Davis, militante, historienne et écrivaine afroféministe et une grande figure de la lutte pour les droits civiques aux Etats Unis. Elle a notamment écrit Femme, classes et race, un livre qui retrace les liens entre féminisme, antiracisme et lutte des classes, à travers l’histoire des femmes, des noir-e-s et de leurs luttes aux États-Unis du XIXe siècle aux années 1970.
Une de ses façons d’exister, c’est par l’humour : de son enfance à son coming out en passant par ses aventures quotidiennes, elle raconte ce qu’elle vit, tant dans des espaces qu’elle crée pour que sur des scènes destinées au grand public, comme au Montreux, qu’elle a fait récemment.
Elle est aussi comédienne, improvisatrice et chroniqueuse sur la radio Mouv. Elle anime également l’émission « Laisse moi rire » dans laquelle elle reçoit de nombreux humoristes
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Boxeur, lieutenant et militant, Maho est un combattant tout terrain. Suite à une agression homophobe, il prend une décision : savoir se battre. Depuis, la boxe est sa passion et rythme sa vie. Il le dit lui-même : c’est presque sa religion. Est venu ainsi un autre combat : faire valoir son identité dans ces différents milieux, jusqu’au combat final, qui est finalement annonciateur de beaucoup d’autres, sur le ring cette fois.
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Horizons Utopiques, c’est le voyage de deux amies curieuses qui tendent le micro à celles et ceux qui rêvent, agissent et inventent d’autres possibles. Entre réflexions intimes et initiatives concrètes, ce podcast explore les chemins d’une société plus juste, plus humaine, plus désirable.
Horizons Utopiques c’est une discussion entre deux amies qui décident d’aller à la rencontre des gens pour les questionner sur leur vision d’une société idéale. C’est aussi l’envie de découvrir et mettre en avant des projets, des actions, des mouvements alternatifs pour créer collectivement le monde demain.
Un podcast enregistré à Massalia VOx, avec le soutien de Massalia VOx Média.
Dans l’épisode 0, découvrez le cheminement qui nous a motivé à parler d’utopies.
Au cours de cette conversation on se questionne sur qui a le privilège de rêver l’utopie?
La disparité du temps libre de chacun a-t-il un impact sur notre capacité à penser le monde de demain ?
Dans l’épisode 1, on parle d’écologie, de dérèglement climatique et des inégalités sociales qui y sont liées. Au cours de l’épisode, vous entendrez la voix de marseillais qui ont accepté de répondre à nos questions et qui se sont permis de rêver pour trouver des solutions pour construire le monde de demain.
Comme à notre habitude, nous sommes parties à la rencontre de marseillais.es pour leur demander leur avis sur le sujet que nous traitons. Enfin, nous recevons en interview Ludovic Barbier, le créateur du LGBTOUR Marseille.
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