Entre Nairobi et Liverpool, les murmures folk d’Edward Kamau
Entre Nairobi, Liverpool et la France, Edward Kamau tisse une folk intime et nomade, empreinte de mémoire, de spiritualité et de luttes douces. À travers son projet Sweet Street Opera, il chante les invisibles, les passants, les silences du monde
Dans les rues ensoleillées du sud de la France, une guitare s’élève. Ce n’est pas un simple chant : c’est une mémoire qui murmure, une histoire en fragments qui se rassemble à travers les cordes et la voix. Edward Kamau, artiste anglo-kenyan, donne vie à Sweet Street Opera, un projet musical poétique et politique né de ses voyages, de ses engagements et d’un désir profond de relier les mondes. Sa folk est fluide, comme les courants de l’Atlantique noir qu’il évoque ; elle puise dans l’intime autant que dans l’histoire collective. Rencontre avec un conteur des temps modernes, au croisement des territoires et des sensibilités.

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